Fermeture des portes :
Parce que bon faut pas déconner. Une femme a cru bon de bloquer les
portes d’un RER pour continuer la parlotte trankilou avec son/sa pote et
cela malgré les injonctions des passagers l’invitant très fortement à
laisser les portes se fermer. Enough is enough : un joyeux citoyen a
décidé de la faire sortir de force du RER pour qu’elle puisse continuer
sa discussion apparemment très importante. Un exemple de civisme dont
chacun d’entre nous devrait s’inspirer.
LA RIPOSTE
Jambes écartées :
Dans le métro, les hommes et leurs jambes écartées prendraient plus de place que les femmes. Scandale ! C’est un élément aussi nouveau que pertinent, relayé par Le Monde, qui méritait bien une étude en forme de photos à l’appui. La guerre des sexes a certes commencé il y a longtemps mais en allant gratter jusqu’au moindre centimètre de place de métro, le féminisme se perdrait-il dans des désirs de conquête territoriale ?LA RIPOSTE
« Les testicules ne sont pas en cristal, elles n’exploseront pas. La fermeture des cuisses est préférable ».
« Dans le métro, le climat est hostile pour les femmes. Selon un sondage que nous avons réalisé, les trois quarts d’entre elles adaptent leur comportement, développent des stratégies, choisissent précisément le lieu où elles s’assoient», explique Anne-Cécile Mailfert, au nom de l’association.
Le vendredi 19 décembre, la Metropolitan Transportation Authority de New-York, l'équivalent de la RATP parisienne ou de la RTM marseillaise, a dévoilé les visuels de sa nouvelle campagne "courtesy counts", soit "l'importance de la courtoisie". La campagne entend éduquer les voyageurs et combattre l'incivilité. En ligne de mire ceux qui mangent dans les rames de métro, les porteurs de sacs à dos à l'heure de pointe, mais surtout les "manspreaders", ces usagers qui se rendent coupables de "man-spreading".
Le man-spreading ? C'est le fameux Urban Dictionnary, le dictionnaire en ligne des mots argotiques anglophones, qui popularise le terme. "Lorsqu’un mec s’assoit en étalant ses jambes au maximum, avec la forme d’un V" peut-on lire sur le site. Le terme dénonce ces hommes envahissants qui s’assoient en écartant les jambes, prenant parfois l’équivalent de deux places dans les trains, métros ou bus, souvent au détriment de leurs voisines.
En France, le terme apparaît pour la première en 2013, lorsque le succès du Tumblr Men taking up too much space on the train (ces hommes qui prennent trop de place dans le métro) traverse l'Atlantique. Sur le site du Monde, un billet de blog affirmait déjà à l'époque: "Constatée dans le 'subway' de New York, la domination masculine sur les bancs du métro est également avérée à Paris, voire dans les trains du quotidien, en France'.
De fait, sur internet, les témoignages, photos et articles sur le sujet affluent. Dans Glamour, on peut lire: "Dès leur plus jeune âge, on apprend aux filles à croiser ou à serrer les jambes alors que les hommes les écartent pour affirmer leur virilité". Le débat se poursuit sur Twitter. Le blog pop-up urbain résume : "Pour faire simple, un homme croisant les jambes est catalogué 'efféminé' depuis la petite école; une femme se tenant les jambes écartées est jugée 'masculine' (vulgaire) ou bien 'aguicheuse' (surtout si elle porte une jupe) ".
Le man-spreading ? C'est le fameux Urban Dictionnary, le dictionnaire en ligne des mots argotiques anglophones, qui popularise le terme. "Lorsqu’un mec s’assoit en étalant ses jambes au maximum, avec la forme d’un V" peut-on lire sur le site. Le terme dénonce ces hommes envahissants qui s’assoient en écartant les jambes, prenant parfois l’équivalent de deux places dans les trains, métros ou bus, souvent au détriment de leurs voisines.
En France, le terme apparaît pour la première en 2013, lorsque le succès du Tumblr Men taking up too much space on the train (ces hommes qui prennent trop de place dans le métro) traverse l'Atlantique. Sur le site du Monde, un billet de blog affirmait déjà à l'époque: "Constatée dans le 'subway' de New York, la domination masculine sur les bancs du métro est également avérée à Paris, voire dans les trains du quotidien, en France'.
De fait, sur internet, les témoignages, photos et articles sur le sujet affluent. Dans Glamour, on peut lire: "Dès leur plus jeune âge, on apprend aux filles à croiser ou à serrer les jambes alors que les hommes les écartent pour affirmer leur virilité". Le débat se poursuit sur Twitter. Le blog pop-up urbain résume : "Pour faire simple, un homme croisant les jambes est catalogué 'efféminé' depuis la petite école; une femme se tenant les jambes écartées est jugée 'masculine' (vulgaire) ou bien 'aguicheuse' (surtout si elle porte une jupe) ".
![Manspreading](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhr7uIHN2PpdN7rf4Ot1O_4UOO4jzrwti2ZMLoRg6qYGsHZHmXGw9dMQaUccGzqy6yXsnRhHEqCbUt85MWbqDDJh5AODblLmHv-iQTweo-VNoH-MaDSB3q3h4ZqqdPufOM7HeCkcV_EUq4K/s1600/3.bmp)
Le Tumblr :
Le Tumblr "Men Taking Too Much Space On The Train" s’est levé en bouclier contre ce signe scandaleux de domination masculine.Voici quelques photos extraite du site !
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